Choisir son argile en céramique : le guide complet
Publié le 19 février 2024
- Lecture : 8 min
La céramique est un art fascinant mêlant tradition, technique et beauté. Tout commence par un choix essentiel : celui de l’argile. Faïence, grès, porcelaine… chaque type de terre a ses spécificités et influe directement sur le rendu de vos pièces. Potier débutant ou céramiste confirmé, il est important de bien connaître les différentes options pour trouver celle qui correspond à votre style et à vos projets.
Dans ce guide, nous vous aidons à identifier les principales argiles utilisées en céramique, à comprendre leurs usages et à bien démarrer vos belles créations en modelage, au tournage, à la plaque.

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Qu'est-ce que l'argile en céramique et pourquoi est-elle unique ?
L’argile en céramique n’est pas un simple matériau : c’est la base vivante de toute création. Elle se distingue par sa composition, sa texture et sa capacité à se transformer sous l’effet de la température lors de la cuisson. Chaque type d’argile offre un rendu différent, avec ses propres contraintes et possibilités : argile réfractaire, clay à modeler, ou encore porcelaine fine. Les émaux, la barbotine, les pinceaux et autres outils viennent ensuite enrichir le travail de surface.
La composition d'une argile en céramique
La composition d’une argile en céramique est un facteur clé qui détermine ses qualités et son comportement lors du modelage et de la cuisson. De base, c’est une roche dure qui est devenue une boue malléable, utilisée pour faire divers objets. Une fois cuite, l’argile devient donc de la céramique.
À la base, l’argile est un mélange complexe de minéraux, comme le kaolin et de particules fines issues de la décomposition rocheuse. Cette composition varie considérablement d’une argile à l’autre, influençant des aspects tels que la :
- Plasticité (la capacité à se déformer sans rupture)
- Couleur
- Température de cuisson...
Par exemple, les argiles contenant des oxydes de fer tendent à prendre une teinte rougeâtre même sans émail, tandis que les argiles riches en kaolin sont souvent plus blanches et plus fines.
Certains céramistes choisissent d’ajouter des matières (des additifs) comme la chamotte, qui sont des fragments d’argile cuite, pour modifier la texture et améliorer la résistance de l’argile durant la cuisson. La compréhension de la composition de chaque type d’argile est essentielle pour maîtriser l’art de la céramique et pour choisir la matière la plus adaptée à chaque projet !
Les 3 grands types d'argiles les plus utilisées en poterie
En poterie, le choix de l’argile est essentiel pour la réussite d’une création. Selon le type de terre sélectionné, les rendus esthétiques, la cuisson, la température nécessaire et la résistance de la pièce peuvent fortement varier.
Parmi la large gamme de matériaux disponibles, trois types d’argiles sont les plus utilisés par les potiers pour leurs qualités techniques et visuelles :
- La faïence (souvent une argile rouge ou argile blanche facile à travailler).
- Le grès (une argile à cuire très résistante, idéale pour les pièces utilitaires)
- La porcelaine (fine et délicate, mais plus exigeante à façonner).
Chacune de ces terres possède des propriétés uniques. Par exemple, la faïence se cuit à basse température et convient bien au modelage, tandis que le grès et la porcelaine nécessitent une cuisson plus haute pour révéler toute leur solidité.
Il faut savoir que l’argile, ou clay, est un matériau naturel que l’on trouve dans les sols du monde entier. Sa couleur et sa composition varient selon sa provenance : argile rouge, riche en fer ; argile blanche, plus pure ; ou encore argile à cuire, préparée pour des usages spécifiques.
Ce guide vous aide à faire le bon choix et à trouver l’argile la mieux adaptée à vos envies créatives en poterie.
La faïence : la cuisson à basse température
La faïence est un type d’argile largement apprécié dans le monde de la poterie, notamment pour sa grande plasticité et sa facilité de manipulation. C’est l’une des plus anciennes techniques utilisées en céramique, remontant jusqu’au IXᵉ siècle ! Elle se compose de terres réfractaires (potasse, sable, feldspath…) et peut être fabriquée avec des terres de diverses couleurs sous diverses couleurs (noire, blanche, beige, rouge…).
Elle est particulièrement adaptée aux pièces décoratives, aux carrelages et à la vaisselle colorée. La faïence se cuit au four à céramique à basse température, au maximum à 1100°C. Elle nécessite 2 cuissons. La terre reste donc poreuse : il faut impérativement l’émailler pour en avoir une utilisation alimentaire et la rendre imperméable. Elle offre une surface idéale pour l’émaillage, permettant aux potiers d’exprimer leur créativité à travers une large gamme de couleurs et de finitions ! Il est aussi possible de la colorer en surface en ajoutant un engobe, une pâte liquide blanche (la barbotine) à laquelle on va rajouter des pigments.
Elle limite le risque de déformation à la cuisson et de retrait, ainsi de réduction de la taille à la cuisson. Cependant, il faut savoir qu’elle n’est pas très résistante au gel, donc pas idéale pour vos décorations extérieures.
Le grès : idéal pour émailler
Contrairement à la faïence, le grès est une argile prévue pour être cuite à très haute température, (entre 1200 et 1300°C). Deux cuissons seront nécessaires pour cuire vos créations en grès ! Sachez cependant que les déformations à la cuisson peuvent être plus importantes qu’avec la faïence et que les fours adaptés à la très haute température sont assez énergivores. Il est fait de liants, donc d’argile et de sable. Généralement, les minéraux qui le composent sont le quartz, le feldspath et le mica, mais il n’est pas rare d’en retrouver d’autres à l’image du fer.
De plus, cette argile n’est pas du tout poreuse une fois cuite : elle va se vitrifier même sans émaillage. La terre va ainsi se refermer et le résultat final sera plus dense, donc plus solide. Vos pièces pourront supporter le gel sans souci et pourront passer au lave-vaisselle comme au micro-ondes. C’est une matière de prédilection pour le céramiste qui vise à créer des objets utilitaires !
En fonction de sa composition, l’argile peut être de couleur rouge, brune, grise ou noire. Pour la colorer en surface, il est préférable d’utiliser des émaux : le début de vitrification provoqué à la cuisson permettra une bonne adhésion de l’émail sur votre pièce, offrant des couleurs plus vives et plus de nuances qu’avec de la faïence. Quant aux engobes, leur utilisation est déconseillée : ils supportent mal la chaleur et peuvent devenir assez ternes.
La porcelaine : la délicatesse et la finesse
La porcelaine est principalement composée de kaolin, de quartz et de feldspath. Contrairement au grès et à la faïence, elle ne contient qu’un seul type d’argile (le kaolin) et des minéraux. Et c’est ce qui lui donne son aspect et sa couleur si reconnaissables : transparence et blancheur. Elle ne contient pas d’oxydes, responsables de la coloration d’une argile. Une matière d’œuvre très fine, mais pouvant aussi être difficile à travailler : le kaolin rejette et absorbe l’eau de la même manière. Un peu trop d’eau et la matière devient trop collante. Pas assez et elle devient cassante et se fissure au séchage. D’où l’importance de rajouter des éléments minéraux à la pâte de céramique pour la rendre facile à travailler, tout en gardant les caractéristiques emblématiques de la porcelaine.
Elle nécessite, elle aussi, deux cuissons : une première qui permettra de pouvoir déposer l’émail, puis une deuxième à plus de 1200°C qui lui donne sa transparence légendaire. Mais c’est aussi explicable par le fait qu’elle contient plus de silice que le grès ou la faïence (présente dans le quartz), le constituant principal du verre ! Plus on cuit la silice, plus la porcelaine sera transparente. Mais attention à ne pas dépasser la température de cuisson recommandée, au risque de voir votre pièce entrer en fusion et de fondre intégralement !
Pour la colorer, il est possible de l’émailler avec un émail contenant des oxydes. Sinon, on va venir la décorer à la main en apposant de la peinture dédiée et en intégrant une troisième cuisson (voire plus s’il y a besoin de superposer plusieurs couches de peinture).
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Conseils pratiques pour travailler avec la terre d'argile
Travailler avec la terre d’argile est un art qui demande patience, technique et compréhension des caractéristiques uniques de cette matière. Que vous façonniez de la faïence, du grès ou de la porcelaine, chaque type d’argile possède ses propres défis et exigences. Découvrez des conseils pratiques qui vous aideront à mieux manipuler et transformer une simple boule d’argile en une véritable œuvre d’art ! Que vous soyez un débutant désireux d’apprendre les bases ou un céramiste expérimenté cherchant à affiner vos compétences, ces conseils vous guideront dans votre voyage créatif avec l’argile.
Apprendre à gérer les processus de cuisson pour le potier
La cuisson est une étape cruciale dans le processus de création en poterie, qui transforme l’argile façonnée en un objet fini, solide et durable. Comme nous l’avons vu, chaque type d’argile requiert un processus de cuisson spécifique, qui varie en température et en durée. La maîtrise de la cuisson est essentielle pour éviter les fissures, les déformations ou les défauts de glaçure !
Pour les débutants, il est important de commencer avec des températures plus basses et d’augmenter progressivement, en respectant les caractéristiques de l’argile utilisée. L’utilisation d’un four céramique adapté est essentielle pour contrôler précisément la température et le temps de cuisson. Il est également crucial de comprendre l’importance de la phase de séchage avant la cuisson, car une pièce mal séchée peut s’effondrer ou éclater dans le four.
Des connaissances sur les différentes phases de cuisson, comme le biscuit et la glaçure, aideront également à produire des résultats de qualité. En comprenant et en maîtrisant ces étapes, les potiers peuvent créer des pièces en céramique durables, fonctionnelles et esthétiquement plaisantes.
Comment utiliser l’argile pour faire du modelage ?
Utiliser de l’argile pour poterie en modelage permet de créer des formes libres, sans avoir recours au tournage pour la poterie. C’est une technique accessible aux débutants comme aux passionnés, qui offre une grande liberté dans la création de pièces uniques.
L’argile pour modelage se travaille directement à la main, comme une pâte à modeler, et peut être façonnée en ajoutant de l’eau pour plus de souplesse.
Pour bien débuter, il est recommandé de suivre une démonstration ou de participer à un atelier encadré, afin de maîtriser les gestes de base. Il existe également des kits complets comprenant les outils essentiels et différents types d’argiles pour s’exercer chez soi. Le modelage est une excellente manière de découvrir les sensations de la terre, tout en développant sa créativité, sans contrainte technique.
Comment donner des couleurs à ses créations à base d'argile ?
Donner de la couleur à vos créations en argile est un processus créatif qui ajoute vie et caractère à vos œuvres en céramique. Il existe plusieurs méthodes pour colorer l’argile, chacune offrant des résultats uniques et captivants :
- L'utilisation de glaçures / émaux : les glaçures, aussi appelés émaux, sont des mélanges de silice, de minéraux et d'oxydes métalliques qui, lorsqu'ils sont appliqués sur l'argile et cuits à haute température, forment une surface vitreuse colorée. Les possibilités de couleurs et de textures sont pratiquement infinies, allant de finitions brillantes à mates, transparentes ou opaques.
- Les colorants ou des oxydes métalliques : comme l'oxyde de fer pour les teintes rouges ou brunes, directement dans la pâte d'argile avant le modelage. Cette technique permet de colorer l'ensemble de la pièce de manière homogène.
- Les engobes : des liquides argileux colorés, peuvent également être appliqués sur l'argile crue pour ajouter des motifs ou des couleurs distinctes. Ces engobes interagissent différemment avec les glaçures, offrant des effets variés après cuisson.
Il est important de noter que les couleurs peuvent changer considérablement après la cuisson, en fonction de la composition de l’argile et des glaçures utilisées, ainsi que de la température du four. Les céramistes expérimentent souvent avec différentes combinaisons pour obtenir le résultat souhaité.
Argile autodurcissante : bonne ou mauvaise idée ?
L’argile autodurcissante est un choix populaire pour les débutants en céramique, surtout ceux qui n’ont pas accès à un four de cuisson. Comme son nom l’indique, ce type d’argile durcit à l’air libre, sans nécessité de cuisson, ce qui en fait une option pratique. Il est possible d’en trouver de plusieurs couleurs et de l’utiliser de manière créative, en mélangeant plusieurs matières telles que le que le bois ou le métal.
Cependant, il est important de considérer ses limites :
- L'argile autodurcissante n'est généralement pas aussi solide ou durable que l'argile cuite.
- Elle peut être plus susceptible de casser ou de se déformer avec le temps, surtout si l'objet fini est exposé à l'humidité ou à des changements de température.
- Elle n'est pas utilisable pour l'alimentation, même en utilisant du vernis alimentaire.
- Les pièces ne sont souvent pas recyclables car elles sèchent.
- Les objets sont très poreux, obligeant à utiliser du vernis ou des imperméabilisants.
- Il n'est pas possible d'émailler les pièces, il faut utiliser de la peinture pour céramique pour venir colorer.
- Son coût est plus élevé que les argiles "classiques".
Pour des projets artistiques, des maquettes ou des créations décoratives qui ne seront pas soumises à un usage intensif, l’argile autodurcissante est une excellente option. Elle permet une grande liberté créative sans les contraintes d’un processus de cuisson et il est possible de la travailler au tour de potier (bien que la sensation ne soit pas la même). En revanche, pour des objets utilitaires ou destinés à un usage quotidien, comme la vaisselle, les vases ou les pots de fleurs, il est préférable d’opter pour des argiles nécessitant une cuisson, qui garantiront une meilleure résistance et durabilité. Et ce, notamment si vous souhaitez devenir céramiste professionnel.
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La nécessité de se former pour apprendre à gérer l'argile en céramique
Vous l’avez bien compris : l’argile en céramique, c’est tout un art ! Si vous souhaitez acquérir les qualités requises pour exercer de la meilleure manière possible, il est nécessaire de suivre une formation suffisante. Vous pouvez par exemple passer le CAP Tournage en céramique. Un diplôme d’État de niveau 3 qui vous apprendra toutes les bases nécessaires pour pouvoir façonner au tour de potier, cuire ou encore émailler vos créations !
Il est possible de se former à distance avec YouSchool ! C’est une solution idéale pour faire en sorte que l’argile n’est plus de secret pour vous. Au programme du CAP, vous découvrirez :
- La matière d'œuvre (les types de roche, les matières premières, etc.)
- La technologie et les procédés (façonnage, séchage, cuisson, etc.)
- L'émaillage et la décoration
- Le dessin technique...
En bref, l’argile n’aura plus de secret pour vous ! Vous pourrez vous lancer dans la création de vos propres pièces et pourquoi pas, espérer devenir céramiste à l’échelle professionnelle.
Le mot de la fin
Le choix de l’argile en céramique est une décision cruciale qui influence grandement le résultat final de toute œuvre en poterie. Que vous optiez pour la faïence, le grès, la porcelaine, ou même l’argile autodurcissante, chaque type a ses propres qualités et particularités. La compréhension de la composition de l’argile, de son comportement à la cuisson et des techniques de coloration enrichira votre expérience en céramique. La céramique, c’est l’art de transformer une matière brute en un objet d’art, en alliant savoir-faire, créativité et passion. N’oubliez pas que chaque pièce est unique et raconte une histoire !
FAQ autour de l'argile en céramique
Quelle argile pour faire de la poterie ?
Pour la poterie, le choix de l’argile dépend de l’objet que vous souhaitez créer et de votre niveau d’expérience. La faïence est souvent recommandée pour les débutants en raison de sa malléabilité et de sa facilité d’utilisation. Elle est idéale pour des pièces décoratives et de petites poteries. Le grès, quant à lui, est privilégié pour les objets utilitaires grâce à sa robustesse après cuisson. Il est bien adapté aux potiers ayant une certaine expérience. Pour des créations fines et délicates, la porcelaine est le choix par excellence, bien qu’elle nécessite des techniques plus avancées et une maîtrise précise de la cuisson. Chaque type d’argile offre des possibilités uniques, permettant aux potiers d’exprimer leur créativité et leur style personnel.
Quelle est la différence entre la céramique et la poterie ?
La céramique et la poterie sont souvent confondues, mais elles présentent des différences clés. La céramique est un terme plus large qui englobe tout ce qui est fabriqué à partir de matériaux terreux et durci par la chaleur. Cela inclut la poterie, mais aussi des objets tels que les carreaux, les figurines et les produits sanitaires.
La poterie, en revanche, se concentre spécifiquement sur la fabrication d’objets tels que des vases, des bols, des assiettes et d’autres récipients à partir de l’argile. C’est une sous-catégorie de la céramique et est généralement associée à des objets utilitaires ou décoratifs. En résumé, toute poterie est de la céramique, mais toute céramique n’est pas de la poterie. La distinction réside dans l’usage et la technique de fabrication des objets.
Quelle terre pour faire de la céramique ?
Pour faire de la céramique, le choix de la terre (ou de l’argile) dépend de l’objet à réaliser et de l’effet désiré. La faïence est idéale pour les projets décoratifs, car elle est facile à travailler et réagit bien aux émaux colorés. Le grès est un choix solide pour les objets utilitaires, grâce à sa durabilité et sa résistance à l’eau une fois cuit. La porcelaine, quant à elle, est parfaite pour des créations fines et délicates, offrant une finition lisse et translucide.
Pour des projets spécifiques, des argiles spécialisées comme l’argile à raku ou l’argile autodurcissante peuvent être utilisées. Chaque type d’argile a ses propres caractéristiques et exigences de cuisson, influençant le choix en fonction de l’expérience du céramiste et des installations disponibles.
Quelle argile pour débutants ?
Pour commencer un loisir créatif comme la céramique, privilégiez une argile à modeler ou une argile scolaire. Faciles à manipuler, elles sont parfaites pour les adultes débutants. La pâte fimo et l’argile souple sont aussi idéales pour s’exercer sans cuisson.
Où acheter et trouver de l'argile ?
L’argile peut être achetée dans divers endroits selon vos besoins spécifiques. Les magasins d’artisanat et les fournisseurs de matériaux pour artistes proposent généralement une gamme d’argiles adaptées à différentes techniques de poterie et de sculpture. Pour une expérience plus personnalisée, vous pouvez vous tourner vers des fournisseurs spécialisés en céramique, qui offrent souvent un large éventail d’argiles, y compris des variétés spécialisées et des mélanges uniques.
En outre, l’achat en ligne est une option pratique, avec de nombreux sites web dédiés à la poterie et à la céramique qui vendent de l’argile et livrent à domicile. Si vous recherchez une expérience plus authentique, certains potiers et céramistes locaux vendent leur propre argile ou peuvent recommander des sources de qualité. Enfin, pour les plus aventureux, il est même possible de collecter et de préparer sa propre argile naturelle, bien que cela nécessite une connaissance approfondie du processus de purification et de préparation.
Quelle argile choisir pour faire de la sculpture ?
Pour la sculpture, il est préférable de choisir une argile qui offre à la fois de la plasticité pour faciliter le modelage et une bonne solidité une fois sèche. L’argile de grès est souvent recommandée pour la sculpture en raison de sa robustesse et de sa capacité à retenir les détails fins. Elle convient particulièrement bien pour les sculptures de plus grande taille ou celles nécessitant une structure plus solide.