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Gaëlle : embauchée à l’hôpital après le TP SAMS à distance

Publié le 02 juin 2025

Aujourd’hui devenue secrétaire médicale dans un CHU, notre élève Gaëlle nous livre son témoignage. Elle revient sur sa formation à distance avec YouSchool, sur ses stages, son parcours professionnel…

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Peux-tu te présenter en quelques mots, ainsi que ce que tu faisais avant ?

« Moi, je suis maman de trois enfants. Cette formation de secrétaire médical, c’est une reconversion professionnelle.

J’ai été pendant cinq ans assistante administrative dans une société de transport. J’ai dû mettre fin à mon contrat pour des raisons médicales et du coup, j’ai eu envie de changer un peu de voie. Et c’est vrai que le monde du médical m’a toujours attirée. Donc, je me suis lancée comme j’étais au chômage dans cette formation avec YouSchool. »

Pourquoi avoir choisi YouSchool plutôt qu’une autre école en ligne ?

« La première, c’était mes recherches personnelles sur un moteur de recherche. Et la deuxième, c’est qu’avec France Travail, j’ai été accompagnée par un organisme qui m’aidait dans mes recherches.

Et en fait, YouSchool cochait toutes les cases de choses un peu indispensables, à savoir l’accompagnement pendant la formation, la reconnaissance du Titre Professionnel et les bonnes notes que YouSchool avait sur les réseaux.

Aussi les commentaires des anciens élèves qui retrouvent du travail rapidement après la formation. Si je ne dis pas de bêtises, il y a aussi un engagement de YouSchool de rembourser un pourcentage de la formation si on n’a pas trouvé de travail X temps après l’obtention du diplôme. »

Pourquoi avoir fait le choix de la formation à distance plutôt qu'en présentiel ?

« Parce que moi, j’habite à la campagne, vraiment loin de tout. Et du coup, financièrement, ce n’était pas possible de payer des déplacements pour aller en cours.

Après, je me suis dit aussi que j’ai 44 ans, je suis sérieuse. Ça ne me faisait pas peur de le faire à la maison, mais je sais que c’est un peu en rebuter certains. J’ai rencontré quelqu’un qui avait commencé une formation avec YouSchool et qui ne l’a pas finie justement parce que ce n’était pas du présentiel.

Mais moi, je savais qu’avec l’expérience que j’avais et mon caractère, ça allait le faire en distanciel. »

Tu as mis combien de temps à avoir ton diplôme ?

« Je me suis inscrite en février 2024 et j’ai eu mon diplôme en décembre 2024. (…) J’avais prévu de passer l’examen en septembre parce que je finissais mon deuxième stage au mois d’août 2024, mais je n’avais pas prévu que je n’étais pas la seule à vouloir le passer ! Et quand j’ai voulu m’inscrire, il n’y avait plus de place.

Au départ, il n’y avait plus de place avant mars 2025. J’ai bénéficié d’un désistement sur une session à Paris pour pouvoir le passer un peu plus tôt. Mais du coup, de septembre à décembre, j’ai juste révisé.

Ce qu’il faut absolument, c’est chercher les stages tout de suite. Il faut commencer par chercher les stages ! Je crois que ça a changé entre-temps, il n’y a plus qu’un stage à faire parce que ce n’est pas du tout évident et ça se comprend, les gens n’ont pas envie de passer du temps à montrer, surtout que c’est un stage d’observation.

Donc, la première chose à faire, c’est ça en fait. C’est vraiment chercher le stage parce qu’une fois qu’on a le stage, déjà, il y a cette tranquillité d’esprit-là.

Ensuite, la formation n’est pas difficile même si on est ultra bien préparé pour l’examen, mais ça va être ça qui va être déterminant parce qu’on ne peut pas s’inscrire à l’examen tant qu’on n’a pas fait son stage. »

Il faut chercher un stage dès l’inscription ?

« Je pense, oui. J’avais déjà de l’expérience dans le secrétariat. Je pense que ça a beaucoup aidé aussi, mais la formation et le Titre en soi ne sont pas très difficiles. Il faut être un peu rigoureux.

Quand on ne vient pas du monde médical, il y a évidemment plein de notions à prendre, toute la terminologie, mais ce n’est vraiment pas inaccessible. Je pense que YouSchool prépare assez bien pour qu’il n’y ait pas de soucis à se faire de ce côté-là. »

Comment est articulée la formation SAMS de YouSchool ?

« À chaque fois, il y a un niveau plutôt bas, intermédiaire et un peu élevé en matière de connaissances à connaître. C’est réparti en trois gros chapitres. À chaque fois qu’on a des leçons, un petit test à la fin de chaque leçon pour voir si on a bien compris.

Moi, ce que je conseille, c’est de faire des fiches en même temps qu’on fait la leçon. C’est-à-dire que moi, dès la première leçon, j’ai commencé mes fiches. J’ai fait ça tout du long. J’ai fiché, j’ai fiché, j’ai fiché. Ce qui fait que déjà, au petit test, après chaque partie, c’était OK. Et à chaque fin de grosse partie, on a une grosse évaluation.

Et là, c’est pareil, avant de le passer, j’avais qu’à reprendre mes fiches, réviser ce que j’avais déjà fait et faire le petit examen qui permet de passer à la série suivante. Et le fait d’avoir fait les fiches, quand je me suis retrouvée fin août à réviser mon examen, j’ai trouvé que c’était beaucoup plus facile que s’il avait fallu que je revienne sur chaque leçon à chaque fois ! »

Qu’as-tu pensé de la plateforme YouSchool ?

« Au début, j’étais assez rebutée parce qu’il fallait rendre ses devoirs en public. Au début, je me suis dit que tout le monde voit ce qu’on a fait, tout le monde voit les commentaires des profs et tout ça. Et j’étais pas chaude-chaude. Mais en fait, j’ai trouvé que c’était carrément source de… Comment dire ? Ça permettait d’avoir accès à ce que les autres aussi avaient fait, de se dire, ah bah tiens, moi ça, je l’aurais pas mis là-dedans. Ah bah tiens, j’ai pas du tout fait comme ça, mais c’est OK aussi.

Et c’était hyper enrichissant, c’était le mot que je cherchais, d’avoir au contraire accès aux autres devoirs, même quand on n’a pas compris quelque chose. Moi, très souvent, en fait, dès que j’arrivais dans une nouvelle partie, on a un chat sur le côté qui permet d’interagir avec les professeurs.

Et je sais qu’avant de poser une question, j’allais voir si elle n’était pas déjà dans le chat. Ça m’a permis de me poser des interrogations que je ne me serais pas forcément posées. Et l’avantage… Alors, j’ai pas testé d’autres plateformes. »

« L’avantage avec YouSchool, c’est que les profs sont super réactifs ! »

« Dès qu’on pose une question, on a la réponse dans la journée. J’ai trouvé ça super. Et ensuite, ils font des permanences, je pense, en visio tous les jours.

Et là aussi, j’étais hyper stressée avant de passer mon examen. Et notamment, prof Mathieu a été carrément génial. Il était toujours là en train de me rassurer. Les commentaires sont toujours très positifs, très bienveillants. Et ça m’a permis de pouvoir y aller un peu plus détendue.

C’est ça que j’ai aimé. C’est qu’on peut toujours revenir sur les leçons précédentes. C’est hyper interactif en fait. On sait exactement où est-ce qu’on s’est arrêté. On a cette barre de chat sur le côté. On a accès pour voir ce que les autres ont rendu. J’ai trouvé ça très bien fait. »

Tu as des choses qui te préparent au Titre Professionnel ?

« On a deux examens blancs qu’on peut préparer. En ce qui me concerne, les examens blancs que j’ai passés sur YouSchool versus celui que j’ai passé en vrai étaient trois fois plus difficiles.

Je me suis dit que j’étais trop bien préparée pour aller passer l’examen ! Pour vous donner un exemple, l’examen écrit, on n’arrête pas de nous dire qu’on n’a que quatre heures, que ça passe vraiment vite et qu’il faut tout donner pendant ces quatre heures.

Et en fait, moi, j’avais fini l’examen en trois heures. Et du coup, j’étais dans la salle d’examen et je me suis dit que j’ai tout foiré. J’ai tout foiré, j’ai fini en trois heures, ce n’est pas possible.

Et je commençais à relire et je me suis dit, non, il faut que tu rendes ta copie parce que si tu commences à tout relire, tu vas potentiellement te rajouter des fautes. Et du coup, j’ai levé la main timidement et j’ai dit, excusez-moi, j’ai fini, est-ce que je peux vous rendre ma copie ? Et la dame m’a dit, vous êtes allées vite. J’ai dit, oui, j’espère que je n’ai pas tout raté.

Et je l’ai rendu. Et je suis sortie et évidemment, j’ai appelé tout le monde en disant, j’ai tout raté, j’ai mis une heure et demie de moins que ce qu’il fallait, c’est sûr, j’ai loupé quelque chose et tout. Et en fait, c’était les mêmes examinatrices que j’avais à l’oral le lendemain.

Et la dame m’a dit, vous avez bien fait de rendre votre copie, non seulement parce que vous n’avez fait qu’une seule erreur, mais ensuite parce que vous avez permis à tous les autres qui avaient aussi fini de pouvoir partir parce qu’une fois que vous avez rendu votre copie, tout le monde a suivi.

Eh bien, bravo. Merci, mais merci YouSchool parce que vraiment, j’étais hyper bien préparée et si je n’étais pas la seule puisque tout le monde est parti, on était hyper bien préparés. »

En quoi consistent les vidéos de la formation SAMS ?

« On a toute la partie logicielle qui concerne Word, Excel et PowerPoint, si je ne dis pas de bêtises.

Il y a plein de logiciels plus récents d’ailleurs. En fait, on a des petites vidéos avec la secrétaire médicale qui nous fait toutes les vidéos, celle des mises en scène et celle des explications qui se filment en train de faire un exercice, une création… Et des trucs un peu plus compliqués aussi, comme le publipostage.

Pour le publipostage, c’était un peu mon point faible. J’avais du mal à enregistrer comment on procédait. Et en fait, le fait qu’elle se filme et qu’on voit en réel comment c’est fait, toujours pareil, en prenant des notes à côté, ça m’a rendu les exercices beaucoup plus simples.

Après, les mises en scène, c’est hyper intéressant quand on n’a pas fait ses stages, quand on n’a pas été dans un cabinet médical. Pour être tout à fait honnête, au début, je pensais que c’était un peu exagéré, notamment les relations avec les patients un peu tendues. Et en fait, une fois que j’ai eu fait mon stage et que j’ai été confrontée à ça, je me suis dit non, c’est pas surjoué. Et heureusement que je l’avais déjà vu dans les petits sketchs parce que ce n’est pas toujours évident.

Ça permet de faire un lien aussi entre la théorie et la pratique, parce qu’on ne se rend pas compte quand on est dans les cours et qu’on apprend des choses très théoriques que tout ça, ça va être mis en pratique. Et le fait de le voir jouer, c’est un plus.

Ça permet de faire des pauses aussi entre ce qui est vraiment écrit, où il faut prendre des notes, faire des fiches. Ça aère un peu la tête de passer à une petite vidéo. Et c’est un support pareil sur lequel on peut revenir autant de fois qu’on veut. Donc, c’est très bien. »

Quelle était ta méthodologie pour étudier ? Est-ce que tu arrivais bien à coupler ça avec ta vie de famille ?

« J’étais sur mon ordinateur. J’ai tout fait sur mon ordinateur. Mais effectivement, on peut le faire sur le téléphone.

[…] Alors oui, parce que j’étais au chômage. J’étais à la maison toute la journée. Et puis, mes enfants sont un petit peu grands, donc assez autonomes. Moi, je ne travaillais pas tous les jours. En fait, quand je m’y mettais, je pouvais travailler trois, quatre heures, plusieurs jours d’affilée.

Et puis après, je faisais une pause et je revenais. Je n’étais pas très assidue, mais j’étais assez efficace quand je travaillais. »

As-tu participé à des permanences des profs ? Faisais-tu des quiz ?

« J’ai tout fait. Quand j’étais en formation, j’ai fait tout ce qu’on pouvait faire. Ils font des petits challenges tous les mois, si je ne dis pas de bêtises. On tape un compte rendu, on crée une affiche pour un cabinet médical… Comme j’ai terminé en décembre, j’ai créé une petite carte pour souhaiter bonne fête à tout le monde.

En fait, c’est le côté ludique pour utiliser les outils dont on a appris la façon de fonctionner. J’ai fait tous les examens possibles et imaginables qu’il y avait sur la plateforme et j’essayais de participer. Je n’ai pas fait toutes les permanences.

Ils proposent d’assister aux permanences des profs, même si on n’a pas de questions, pour entendre les questions des autres. Ça, j’avoue, je ne l’ai pas fait. Je ne l’ai fait qu’à la fin, quand j’avais des questions.

Mais j’ai essayé de participer à tout ce qu’ils proposaient.

[Qu’est-ce que la permanence des profs ?]

La permanence des profs, c’est le prof qui est en direct pendant une heure par jour, en visio […] Il y a un lien qui est fourni sur la plateforme tous les jours […]. Et on est plusieurs, donc on voit qui est connecté.

On n’est pas obligé de mettre sa caméra si on n’a pas envie. Et le prof est là pour répondre à nos questions. Du coup, c’est hyper interactif. C’est toujours hyper bienveillant. C’est très bien. »

Peux-tu nous parler des vidéos d’entraînement qui vous sont demandées ?

« On a un scénario, un script, et on doit s’enregistrer. Comme les petits jeux de rôle qu’on a vus en vidéo avant et c’est à nous de le faire. Et donc, on nous explique qu’on a tel patient et on a telle et telle chose à faire et à reproduire en vidéo.

Et ça aussi, ça m’a vachement stressée. Ça faisait partie des trucs que je laissais traîner, que je n’arrivais pas à faire. Et après mon stage, j’étais vachement plus à l’aise.

Et c’est vrai que quand je suis rentrée de mon stage, j’ai fait toutes les vidéos qu’il y avait à faire et j’ai trouvé ça super. Ne serait-ce que pour montrer à l’entourage ce qu’on est en train de préparer et ce qu’on a rendu comme travail. Et le retour des profs sur ces petites vidéos, ce sont des exercices quand même malgré tout.

Et moi, ça m’a vachement motivée qu’on me dise que c’est exactement ça qu’il fallait faire. Là par contre, il faudrait plutôt dire ça, tu as oublié ça. C’était très intéressant comme exercice. »

Comment as-tu financé ta formation ?

« Moi, j’ai démissionné, c’était un peu galère au début parce que je n’ai pas eu droit au chômage tout de suite.

Et après, j’ai eu envie de faire cette formation. Je me suis renseignée pour savoir combien j’avais sur mon compte formation. Et il se trouve que j’avais un petit peu d’argent de côté à ce moment-là. Donc, j’ai financé 1 000 euros avec mon compte de formation et le reste avec mes sous.

Moi, j’ai choisi de tout payer d’un coup parce que pour la motivation aussi de se dire que j’ai tout payé, il faut vraiment que je me donne à fond.

Mais je sais qu’on peut payer en plusieurs fois aussi, ils sont hyper arrangeants de ce côté-là. Quand on n’a pas le budget, ce n’est pas forcément un frein parce qu’on peut payer tous les mois. »

Comment se sont déroulés tes stages ?

« Pour mon premier stage, j’ai fait trois semaines dans un laboratoire d’analyses et je suis tombée dans un cas un peu particulier, je n’en garde pas une expérience transcendante. Mais surtout, ça m’a permis de savoir que ce n’était pas trop ça que j’avais envie de faire parce que pour moi, ce n’était pas vraiment représentatif du travail de secrétaire médicale.

Par contre, mon deuxième stage, c’était trois semaines dans un cabinet médical pour trois médecins généralistes et là, c’était incroyable ! »

« J’ai vu tout ce que pouvait faire la secrétaire médicale, le contact avec les patients, avec les médecins et c’était vraiment hyper intéressant. »

Quels étaient tes cours préférés du TP SAMS ?

« Tout ce qui touchait au médical, toute la terminologie, parce qu’en fait, la partie secrétariat, je la maîtrisais déjà un peu, j’ai appris des choses, mais ce n’était pas nouveau. Par contre, tout ce qui touchait au médical, c’était super. »

Quelle-est ta situation depuis que tu es diplômée ?

« J’ai été diplômée fin décembre. Au mois de janvier, j’ai postulé partout où je pouvais postuler et je n’ai essuyé que du silence parce qu’il faut se préparer aussi à ça. Les employeurs, même quand ils ont publié une annonce, ne répondent pas.

Ensuite, début février, j’ai eu un non. Et tout d’un coup, j’ai eu un mail du CHU de Toulouse qui voulait me rencontrer. Donc là, gros soulagement, gros stress aussi parce que du coup, je me suis dit qu’il faut que j’assure. Et en fait, j’ai passé les examens du CHU parce qu’ils recrutent avec des examens.

Et là, j’ai béni la formation parce que c’était de la frappe, de la terminologie, de la dictée, des choses que j’avais préparées pour mon examen, donc qui étaient encore très frais dans ma tête. Et j’ai été prise, donc ça fait presque deux mois que je travaille au CHU de Rangueil.

J’ai eu mon premier CDD de trois mois. Je sais déjà que je vais être renouvelée pour trois autres mois et après, je vais attendre. […]. À priori, ils sont très contents de moi. »

Quels conseils donnerais-tu aux futurs élèves YouSchool ?

« Alors pour ce qui est de la formation en distanciel, effectivement, je pense qu’il faut être quelqu’un de rigoureux parce qu’il n’y a personne qui est derrière nous. Enfin non, je vais rectifier ce que je viens de dire. »

« L’autre énorme avantage avec YouSchool, c’est que justement, on a quelqu’un derrière nous. »

« C’est une des choses que j’ai trouvées très bien aussi pour la motivation. C’est que tous les mois, on a un coach qui nous téléphone, alors ce n’est pas toujours le même, mais ils sont tous très sympas. Il nous téléphone pour savoir où on en est, ils voient notre progression, nous encourage, qui nous dit si on a trouvé un stage, si on a besoin d’aide…

Il y a aussi des ateliers pour faire sa lettre de motivation, son CV, et donc on a ce petit rappel tous les mois de « alors, tu en es où ? Tu as avancé ? ». Et voilà, moi, ça m’a suffi pour rester motivée et puis de toute façon, j’avais très envie de le faire et de réussir.

Mais c’est vrai que je pense que si on n’est pas assez motivé, le distanciel, ce n’est pas forcément le mieux, mais ça, c’est à chacun de décider.

Et après, pour ce qui est du changement de vie, je pense qu’il faut se lancer. Moi, j’aimais beaucoup ce que je faisais en tant qu’assistante administrative, mais je n’arrivais pas à trouver de travail après avoir quitté l’emploi que j’occupais avant.

Et je me suis dit, vu mon âge et vu la situation actuelle, si je veux faire quelque chose de nouveau, c’est maintenant. Et comme j’aime bien me former, c’est quelque chose que j’aime beaucoup apprendre, je me suis dit « vas-y, lance-toi ».

Et c’est vrai qu’en parlant avec mes enfants et mon mari, ils m’ont dit « mais pourquoi tu ne fais pas secrétaire médicale ? Tu adores ça, c’est fait pour toi ». Et ça a été une évidence. Pour moi, changer de vie, parce que ça reste du secrétariat quand même, j’avais vraiment hâte.

Et maintenant que je suis en poste, je me dis « effectivement, c’était fait pour moi ». Mais il ne faut pas que la formation à distance ce soit un frein. Je pense que quand on a la motivation, en tout cas avec YouSchool, c’est facile à faire. Très bien. »

Si tu devais décrire YouSchool en trois mots, tu dirais quoi ?

« En premier, je dirais bonne ambiance parce que c’est ce que j’ai ressenti à chaque fois que j’allais sur le site pour faire mes cours.

La pédagogie, pour moi en tout cas, c’était bien expliqué, je me suis trouvée super bien préparée.

Et formation en troisième. »

Pour finir

Gaëlle est la preuve qu’il est tout à fait possible de se reconvertir après une formation à distance ! En passant son TP SAMS, elle s’est donné les moyens de retourner sur le marché du travail et de trouver en emploi dans un secteur qui lui convient réellement. Nous la remercions pour son témoignage et lui souhaitons beaucoup de bonheur pour la suite de sa carrière !

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